Expulser les violeurs étrangers serait du racisme

Rappel : si l’on s’intéresse uniquement à la ville de Paris, plus de 70 % des viols élucidés commis en pleine rue le sont par des individus de nationalité étrangère (ne sont pas inclus les binationaux), et c’est une constante depuis 2018.

Alors quand j’entends les sempiternels bisounours pousser des cris d’orfraie parce que le slogan Papa Noël remigre-moi ces violeurs ! a été déployé par le collectif Némésis sur des banderoles, j’ai juste envie de leur demander, à ces gens-là, sur quelle planète ils vivent.

Si attirer l’attention sur ce phénomène qui contribue à ce que les femmes ne puissent circuler sans crainte est du racisme, alors quelle serait la bonne attitude à avoir selon les gauchistes pro-migrants ? Prétendre que ces viols ne sont que des accidents de parcours et, qu’après avoir purgé une peine de réclusion criminelle ou d’emprisonnement, ces étrangers pourront être insérés dans la société ?

L’aveuglement et l’obstination de ces militants autoproclamés antiracistes n’a pour corollaire que l’augmentation de la liste des victimes.

Non seulement l’expulsion des individus étrangers auteurs de viols devrait être une évidence, mais également l’ensemble de ceux qui ont commis un crime ou un délit sur notre territoire.

Car quand on ne respecte pas les lois d’un pays, on apporte la preuve que l’on n’a pas vocation à y rester. Et la précarité n’est pas une excuse pour justifier ce comportement.

Sébastien Jallamion

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