
Doit-on encore présenter Carlos Bilongo, député LFI de la 8e circonscription du Val-d’Oise, ancien coach sportif d’Aya Nakamura – celle qui fait passer la Callas pour une chanteuse de bastringue ! –, racialiste sans doute marabouté par les Blancs qu’il voit partout et dont, faut-il le rappeler, il a allègrement profité pour son ascension mais qu’il souhaite voir purement et simplement disparaître ?
Le même Bilongo qui monta jadis de toutes pièces un scandale dans l’Hémicycle au sujet d’une phrase prononcée par un député RN qui ne s’adressait pas à lui, occupé alors à éructer en faveur des migrants, ce qui ne l’empêcha pas de s’en servir opportunément, et toute honte bue, pour s’inventer une attaque raciste à son encontre :
Le sieur Bilongo n’aime pas la France et tout ce qu’elle représente de réussite parce que, sans doute, cela lui renvoie au visage sa propre impuissance à construire quoi que ce soit, d’où son obsession de sa couleur de peau qu’il voudrait différente peut-être, qui sait ? Aussi, lui et ses semblables déconstruisent, mot à valeur d’euphémisme qui signifie en réalité détruire.
C’est ainsi que Bilongo, après s’être payé la tête de Rachida Dati – en suggérant que sa réussite était le fait d’une « promotion canapé » et jaloux parce que chez Jean-Luc il n’y a que des chaises pliantes ! –, a monté d’un cran en affichant publiquement ses intentions politiques effrayantes et donc celles de son parti, peut-on supposer.
Le JDD rapporte ainsi que Bilongo, lors d’un entretien sur une plateforme – La Librairie africaine, une officine elle aussi racialiste, dont la dernière vidéo donne le ton : « virilité, capitalisme, esclavage, Islam en France », https://www.youtube.com/@LaLibrairieAfricaine –, s’est lâché en versant carrément dans le racisme anti-Blancs, à travers des propos qui ne seront quant à eux jamais condamnés, contrairement à B.B. qui se faisait étriller par la justice au moindre mot qui n’entrait pas dans les cases du vivre-ensemble.
Donc, Bilongo entend « leur [nous, les Blancs] montrer qu’on est plus nombreux et qu’on est plus intelligents ». Question intelligence, faudrait voir ! Puis le député raciste ajoute : « Si on a fait plus de gosses qu’eux, tant pis pour eux. S’ils voulaient faire des gosses, ils avaient qu’à s’aimer, faire l’amour et faire des enfants. Nous avons réussi à en faire. Nos mamans ont réussi à nous éduquer correctement. » En substance, Bilongo propose un grand remplacement, qui n’existe pourtant pas, nous affirment les gauchistes qui nous en font voir de toutes les couleurs, sauf le blanc évidemment.
Cette sortie raciste n’a donc choqué que le camp patriote, dont le sénateur Stéphane Ravier énonçant une vérité accablante : « Le seul racisme encore autorisé en France concerne les Blancs, la justice doit sévir pour les protéger. » Quant à la douteuse présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pour l’instant pas un mot n’est sorti de sa bouche.
Il faut dire que la gauche était plus occupée à injurier Brigitte Bardot que de pointer les phrases immondes du Bilongo : « Brigitte Bardot, trente ans de sympathie pour l’extrême droite » (Le Monde) ; « Lepéniste Brigitte Bardot, la dérive vers la haine raciale » (Libération, ce torchon qualifiant aussi B.B. de « furie d’extrême droite ») ; « “Le Pen, un homme charmantˮ : Bardot, l’icône des Français devenue celle de l’extrême droite » (L’Humanité), etc.
Par contre, proposer à mots à peine couverts de remplacer les Blancs chez eux – donc anéantir leur monde, voire les exterminer –, ça passe crème pour cette gauche dégénérée, apatride et pétrie de haine de soi, qui n’aura jamais le millième du talent de B.B. qui, elle, faisait rayonner la France à défaut de la souiller.
Et si Bilongo ça commence comme Bardot, ce n’est pas aussi beau, ni à voir ni à entendre, convenez-en. Alors, « camarades », choisissez votre camp : la haine et le chaos ou le talent et la grâce ? On vous laisse deviner qui est quoi…
https://ripostelaique.com/la-tres-francaise-b-b-sen-va-et-le-raciste-noir-bilongo-arrive.html
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