On se demande encore ce que la gauche va bien pouvoir inventer après l’attaque au couteau dans le métro parisien, par un OQTF d’origine malienne, déjà connu de la police pour des faits similaires ? On rappelle que par mesure de précaution, quand une vache a une maladie bénigne, on abat sans sommation tout un troupeau de bêtes saines. Non pas qu’il faille abattre ces gens mais à tout le moins, le principe élémentaire de précaution serait de ne pas les laisser entrer plus longtemps dans notre pays. Les immigrationnistes vont nous servir leur éternel refrain : « Ils ne sont pas tous comme ça ». Oui, et ceux qui le sont justifient qu’on les laisse faire ? Mais on ne les laisse pas faire vous diront-ils encore. Si justement, on les laisse faire, parce qu’il faut bien analyser l’attitude de notre gouvernement. Il laisse entrer à gros bouillon des gens dont on sait qu’une partie d’entre eux sont vindicatifs avec la population générale et surtout avec la population de type caucasien, il veille à ce que les peines prononcées en cas de jugement ne soient pas trop dures, afin disent les magistrats, de « leur laisser une chance de s’intégrer ». Le même état nous prive de tout mode de calcul qui pourrait permettre justement de savoir combien de ces gens sont des meurtriers en puissance, en interdisant les fameuses statistiques ethnico-religieuses que nous réclamons au RPF. Comme ce même état intervient en cas de maison squattée, non pas pour en virer les occupants illégaux, mais pour les protéger des foudres d’un propriétaire qui aurait l’outrecuidance de vouloir reprendre son bien par la force.
Très objectivement, l’État travaille contre sa propre population, qu’il livre en pâture aux meurtriers issus de l’immigration qui, encore très objectivement, sont impliqués très majoritairement dans les affaires de délinquance à l’arme blanche. Très objectivement toujours, les femmes sont les premières victimes de ces gens porteurs d’une pseudo-culture dans laquelle les femmes sont ravalées au rang d’un objets. Il est d’ailleurs étonnant que l’on retrouve chez ces mêmes femmes les plus ardents défenseurs de cette immigration et les bénévoles les plus assidues des associations d’accueil, souvent d’ailleurs, au péril de leur vie : que leur prend-il ?
140.000 individus ont été placés sous OQTF en 2024. Le problème est qu’ils ne partent pas et qu’ils s’empilent au fil des ans. En réalité, ils sont, cumulés, près d’un million, soit l’équivalent de la ville de Marseille. Il est bien évident que les forces de l’ordre n’ont pas les moyens de les surveiller. Ces OQTF, même nantis de casiers judiciaires longs comme des jours sans pain, continuent à percevoir des aides sociales, à habiter dans des logements sociaux, peuvent se marier, même s’inscrire à l’université… on rêve. Au RPF, outre la demande de statistiques ethnico-religieuses, parce qu’il faut se doter d’une base de renseignements fiables si on veut définir une politique, nous préconisons la fin de toute forme d’aide sociale pour les étrangers, même non-délinquants. Des mesures de rétorsion drastiques contre les pays qui refusent de reprendre leurs ressortissants et surtout, un moratoire total sur l’immigration non-européenne le temps d’un état des lieux. Personne ne sait combien ils sont, qui fait quoi et qui a un casier judiciaire. Un arrêt total de l’accueil, des naturalisations, des régularisations, une vérification des identités, des profils, des fraudes, des provenances, une autorisation des tests de majorité et une installation en centre de rétention avant le retour dans les pays d’origine, qui la plupart du temps ne sont pas en guerre. La fin du droit du sol et du regroupement familial. Il s’agit dorénavant, comme l’ont souligné des sociologues, d’une immigration de regroupement familial, chez nous. Les gens des pays africains venant rejoindre leurs familles déjà installées en France. Il s’agit donc d’un peuplement exogène, le plus souvent à nos frais et même nos grands frais. En fin de compte, les seuls qui ne voient pas d’inconvénient à tout cela sont ceux qui ne les croisent jamais, c’est à dire : pas grand monde.
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