
par Serge Fontalar
La stratégie nationale de sécurité des Américains, tu parles, ça date du 5 décembre 2025. Un truc de malades, un rapport que les militaires français, eux, rêveraient de recevoir, mais non, rien à faire, faut que ça soit toujours trop long, trop flou, trop merdique pour qu’on y comprenne quelque chose. Mais ce machin-là, celui de Trump, il est propre. 29 pages ! Il te claque dans la gueule comme un crochet, net et précis. Douze objectifs, cinq régions, direct, pas de fioritures. Pas de blabla, pas de grand discours à la gomme comme ceux sur les valeurs de la République. Ça c’est du sérieux. Ça, c’est de la politique, pas des discours foireux !
Faut être honnête, c’est un modèle. Parce que le mec Trump, il a décidé où il veut aller. Fini le Moyen-Orient et ses délires, oubliés l’Irak, la Syrie, tout ça… on passe à autre chose. Maintenant, priorité au coin de l’Amérique, tout ça, pour les histoires de frontières, d’immigration, de drogues, et puis les saloperies de puissances, la Chine, la Russie, l’Iran qui foutent leur bordel dans tous ces coins-là. Le mec, il fait son boulot. Pas de faux-semblants, pas de « on va sauver la démocratie », non, non. Ce sont les mecs patriotes en Amérique latine qu’il faut garder dans le « game », c’est ça le but. Point !
Et la Chine, tu parles. C’est plus de la guerre militaire maintenant, c’est un business de semi-conducteurs, c’est ça le gros « deal », faut protéger Taïwan, cette foutue île, pour pas que les Chinois y foutent leur merde. C’est ça, la guerre d’aujourd’hui. On arrête avec les histoires de bombardiers et on se concentre sur les usines, les puces, les trucs qui te rendent dépendant. C’est ça, la guerre moderne. Le Pacifique, les îles, ça te protège, tout ça, c’est tout un bordel, mais un bordel réfléchi car c’est là-bas que l’Histoire se joue. C’est plus en Europe !
Ah l’Europe… mais qu’est-ce qu’on en a à foutre, de l’Europe ? Ça n’occupe plus la première place dans la stratégie américaine. Ils en parlent, mais y’a un goût de déception. On n’est plus les amis qu’on était, on est juste là, de l’autre côté, loin des enjeux progressistes. La guerre en Ukraine, pfff, un mauvais film, de mauvais acteurs. Ça traîne. Les Ricains en ont marre, mais ils restent là, ils attendent. Le truc c’est que, en vrai, ils se foutent de l’OTAN, ils veulent des résultats. Et si les Européens n’arrivent pas à tenir la route, ben tant pis pour eux.
Et puis la Russie. Bon, la Russie… Ils veulent bien discuter, mais faut que ça cesse, ce délire. Faut se calmer avec la Grande Russie. La diplomatie, c’est ça le chemin, c’est pas la guerre. Ça se calme, ça s’assoit à la table et ça parle. Parce qu’une guerre en Eurasie, ça va finir en catastrophe, et personne n’a envie de ça. Pas même eux.
C’est ça, cette stratégie. Pas de bêtises. C’est clair, c’est net.
Si la République veut suivre, il va falloir sortir du cirque idéologique. Il va falloir arrêter de faire semblant pour, enfin,faire du politique d’abord…. Allez Mandon, chaud devant, le gonfleur d’hélices, même si c’est plutôt un Villiers qui conviendrait à la situation. Le politique d’abord, le Villiers il connaît la chanson lui, vu que c’est son père qui accueillait les camps d’Action française dans les années 1960 et possédait une bonne, une très bonne bibliothèque.
https://www.actionfrancaise.net/2025/12/25/les-amerloques-montrent-lexemple/
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