Macron et Mélenchon haïssent nos paysans et rêvent du Grand Remplacement dans nos campagnes

On a beau chercher, on ne voit vraiment pas la différence entre Macron et Mélenchon, si ce n’est que le second fait semblant d’être le pire ennemi du premier. On les a déjà vus, à Marseille, discuter très amicalement, de manière complice, dans une rencontre faussement improvisée.

Sur l’islam, ils lèchent aussi bien les babouches musulmanes l’un que l’autre, et qualifient d’islamophobes ceux qui disent la vérité sur ce dogme criminel.

Bien que la France accueille 500.000 nouveaux venus tous les ans, mettant délibérément en danger la sécurité des Français, ils en réclament toujours plus.

Sur l’imposture climatique, il n’y a pas une feuille de papier à cigarettes entre eux, c’est toujours plus d’éoliennes, même à présent dans les mers, faisant bien exploser la facture d’électricité des Français.

Sur la période liberticide du Covid, nous n’avons pas vu la moindre différence, lors du confinement, du masque obligatoire avec lourdes amendes pour les récalcitrants, du passe sanitaire, des sanctions contre les soignants, de la vaccination obligatoire, entre le régime de Macron et les Insoumis, qui ont laissé Macron « emmerder les non-vaccinés ».

Sur l’Ukraine, même si Mélenchon est plus prudent dans son soutien à Zelensky que Macron, tous deux désignent Poutine comme l’agresseur, et aucun des deux ne paraît pressé de voir la paix s’installer, alors que la tradition de Mélenchon devrait être de faire ce que fait le seul Philippot, tous les samedis.

Sur la Palestine, tous deux sont favorables à un État palestinien, et tous deux insultent régulièrement Benjamin Netanyahou.

Enfin, aucun des deux ne veut sortir de l’Union européenne, tout simplement parce qu’ils veulent détruire la France, au nom du fédéralisme européen pour Macron, et au nom de l’abolition des frontières et du concept de citoyen du monde pour Mélenchon.

Et bien sûr, personne n’a oublié leur pacte de juillet 2024, pour barrer la route à une victoire qui semblait promise au Rassemblement national.

Cela fait déjà beaucoup, mais que dire de leurs positions sur les campagnes. C’est très clair, tous deux veulent le Grand Remplacement, il suffit de les écouter.

Commençons par Emmanuel Macron devant ses préfets. Il réclamait ni plus ni moins d’installer des clandestins, au nom de la transition démographique, dans les campagnes. Et il voulait faire de Callac un véritable laboratoire de cette politique…

Voir le tweet

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-enjeux-territoriaux/les-migrants-a-la-campagne-sujet-politique-realites-multiples-6490706

Est-ce bien différent de ce que disait Mélenchon, qui, avec son mépris habituel, expliquait à ses troupes de choc qu’il appelle la Nouvelle France que la ruralité n’existait pas, qu’il n’y avait plus que 400.000 paysans, et que les campagnes étaient à prendre ?

https://www.lefigaro.fr/politique/pour-melenchon-la-nouvelle-france-rurale-c-est-celle-qui-arrive-des-quartiers-populaires-en-ce-moment-20250202

Tous les deux, Macron et Mélenchon, haïssent la France et méprisent le peuple français, surtout celui des campagnes, qu’ils considèrent comme des alcooliques, des dégénérés et des ploucs. Rien d’étonnant donc à ce que les Insoumis, comme en a fait l’expérience Manon Aubry à Bruxelles, soit autant détestés par le monde paysan, presque autant que les écolos.

Ceux-ci, loin d’être les demeurés pour lesquels ont les prend, ont compris depuis longtemps que Macron et Mélenchon, avec des discours apparemment différents, poursuivent le même objectif, la fin de la France et le Grand Remplacement partout, y compris dans nos campagnes, encore préservées de l’ensauvagement des grandes villes et des villes moyennes.

https://ripostelaique.com/macron-et-melenchon-haissent-nos-paysans-et-revent-du-grand-remplacement-dans-nos-campagnes.html

Une réponse à « Macron et Mélenchon haïssent nos paysans et rêvent du Grand Remplacement dans nos campagnes »

  1. Avatar de Paul-Emic

    Les sbires de Mélenchon n’ont pas envie de se casser le dos dans les campagnes quand ils peuvent pleinement jouer les parasites en ville.

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