[ENTRETIEN] Une lueur d’espoir pour la paysannerie française ?

M. Pingeon, éleveur de vaches et céréalier, exploitant non syndiqué de 78 hectares en Seine-Maritime entre Rouen et Dieppe, nous parle de la situation de la paysannerie française et de ses perspectives. Actuellement, la paysannerie se nourrit des miettes laissées par le transformateur et le distributeur et est ballottée au gré des nouvelles normes de la PAC, qui la soumet à une concurrence déloyale.

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Remarquable analyse du mode de fonctionnement du macronisme (à lire dans son intégralité, par M. Arnaud Benedetti pour le Figaro Vox)

M. Arnaud Benedetti, directeur de la revue politique et parlementaire: « Il y a une dimension profondément factice dans le macronisme. C’est ce qui pose problème au demeurant et qui risque le moment venu de se payer au prix fort. Il existe des institutions, il existe des procédures, il existe des corps intermédiaires dans une démocratie. Emmanuel Macron affaiblit tout cela par sa pratique. Connaissez-vous beaucoup de présidents sous la Ve République qui aient souhaité qu’une loi dont ils sont à l’origine soit censurée par le Conseil constitutionnel ? C’est pourtant ce à quoi s’est prêté l’actuel chef de l’État, montrant ainsi une désinvolture sans précédent avec l’usage institutionnel. De même lorsqu’il annonce, depuis un an sans avoir de majorité à l’Assemblée nationale, des initiatives comme les «cent jours», les rencontres de Saint-Denis, «le grand rendez-vous avec les Français», tout est fait en usant d’artefacts communicants pour contourner la seule matrice démocratique dont le Président devrait se soucier dans une démocratie, à savoir la souveraineté populaire, qu’il s’efforce en permanence de tenir à distance et de contourner. »

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Scandale du château de Grignon : des meubles d’exception vendus pour une bouchée de pain par l’état (MàJ : le château réquisitionné pour les migrants africains en provenance de Mayotte)

Vu sur F de Souche

04/01/2023

« Je reconnais qu’il y a eu une erreur. On n’aurait jamais dû vendre certains meubles. » Alain Caumeil, à la tête de la Direction nationale d’interventions domaniales (DNID), ne le nie pas. Le mobilier du château de Grignon dans les Yvelines, berceau de l’agronomie française depuis Charles X (1826) et classé monument historique depuis 1941, n’aurait pas dû quitter ses murs dans ces circonstances.

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