L’augmentation du prix de l’énergie et des intrants
Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, les prix de l’énergie et des intrants (engrais, produits phytopharmaceutiques) n’ont fait qu’augmenter. Or, en 2018, la France s’est auto-interdit d’exploiter ses propres gisements de gaz ! Une décision ubuesque qui pèse lourd, aujourd’hui, dans le budget des industriels, des ménages et des agriculteurs.
À la fin du mois de février, un migrant d’origine koweïtienne a été condamné à une amende délictuelle pour avoir frappé un policier Article réservé aux abonnés
Le 22 février dernier, vers 12 h 50, à Calais, une habitante appelle la police car un homme, un ressortissant koweïtien de 26 ans, passablement ivre, se trouve sur l’un des paliers de son immeuble et se comporte de manière agressive.
On raisonne à tort en pensant que la défaite du président Zelensky à Donetsk et à Lougansk, à Kherson et Zaporijjia, puisse marquer la fin des combats. Face à la résistance que Moscou a rencontrée pour faire appliquer la résolution 2202 du Conseil de Sécurité, le président Poutine a déclaré qu’il lui restait à libérer Odessa et à joindre la Transnistrie. C’est précisément ce que cherche le Pentagone depuis 2019. D’ores et déjà, il prépare une seconde manche en Moldavie. Non pas qu’il veuille défendre les Ukrainiens, puis les Moldaves, mais parce qu’il entend dépouiller ses propres alliés.
Les chiffres de l’Alliance atlantique, relayés par les agences de presse occidentales, permettent de penser que le peuple ukrainien est uni et résiste grâce aux armes occidentales. Cependant, ceux du Mossad, diffusés par le site turc Hürseda Haber attestent qu’ils sont sans rapport avec la réalité.
Les États-Unis, désemparés, se tournent vers la guerre pour préserver leur primauté déclinante.
L’avenir de l’humanité se jouera sur un champ de bataille en Ukraine. Ce n’est pas une exagération. Le conflit entre les États-Unis et la Russie déterminera si l’intégration économique mondiale se développera au sein d’un système multipolaire en pleine évolution ou si « l’ordre fondé sur des règles » parviendra à écraser tout opposant à son modèle centré sur l’Occident. C’est ce qui se passe en Ukraine aujourd’hui. En fait, tous les documents récents préparés par le gouvernement et relatifs à la sécurité nationale identifient la Russie et la Chine comme les plus grandes menaces pour l’hégémonie des États-Unis. Par exemple, jetez un coup d’œil à ce bref extrait du rapport du Congressional Research Service de 2021 intitulé « Renouvellement de la concurrence entre grandes puissances : Implications pour la Défense – Questions pour le Congrès » :
L’ancien président Donald Trump demande une enquête sur le dirigeant de Facebook, Mark Zuckerberg, après qu’un groupe de surveillance a allégué qu’un comté de Géorgie a accepté de l’argent d’un groupe financé par Zuckerberg, malgré l’interdiction par l’État du financement extérieur des élections.Lire la suite →
Plusieurs centaines de parachutistes ont été largués samedi sur la région de Castres (Tarn), dans le cadre d’un exercice interarmées d’ampleur inédite simulant un engagement majeur et mobilisant 7.000 militaires.
C’est un exercice de grande ampleur appelé opération « Orion ».Lire la suite →
Le 12 février, vers minuit, une femme de 40 ans a été violée en rentrant du travail à Saint-Etienne. Un suspect de 21 ans a été interpellé grâce aux images de vidéosurveillance.
Michel Onfray revient sur le meurtre d’une enseignante à Saint-Jean-de-Luz: « Qu’est-ce que notre société a fait pour qu’un gamin de seize ans puisse poignarder en cours l’un de ses enseignants ? Et qu’est-ce qui fait qu’il y a des dizaines d’attaques au couteau tous les jours ? A un moment donné c’est la pathologie de la société qu’il faut aller interroger »
Le 2 novembre 2017, quelques mois après son élection, Emmanuel, dans son discours remarqué de la Sorbonne, appelait de ses vœux une politique agricole commune (PAC) qui « nous protège des aléas de mettre en péril la souveraineté alimentaire de l’Europe »… Le 9 décembre 2021, alors que la France s’apprêtait à prendre la présidence du Conseil de l’Union européenne, l’agriculture fut absente de son discours, si ce n’est à travers l’évocation des « clauses miroirs » – indispensables – et la lutte contre le concept écologiste fumeux de « déforestation importée » et d’« d’eau virtuelle exportée ». Ainsi est notre président de la République, prompt à commenter et pusillanime quand il a le pouvoir d’agir.