
Les 9 étapes du Nouvel Ordre Mondial selon Robert Kennedy Jr et nos résolutions de Nouvel An pour nous en sortir

Le dernier jour de l’année étant traditionnellement pour les journalistes le moment de dresser le bilan des douze mois écoulés et d’en souligner les faits majeurs, comment ne pas reconnaître avec nos confrères que 2020 aura été essentiellement marquée par l’épidémie de COVID et ses terribles conséquences ? Parti de Chine en novembre 2019, le nouveau virus aura en effet contaminé en un an près de 80 millions personnes à travers la planète, causé la mort de plus de 1,7 million de ses habitants, entièrement désorganisé les économies de ses pays, et contraint quelque quatre milliards d’êtres humains à vivre confinés chez eux pendant des semaines.
L’islam s’apprête à s’installer en Europe et les chrétiens ne pensent qu’au dialogue qui dissout les identités, alors qu’ils sont devant un formidable défi.
Le « dialogue inter-religieux » officiellement promu au sein de l’Église, n’a pas pour objectif d’apporter la vérité à des frères en humanité qui en ont besoin, mais d’organiser une coexistence pacifique. Exemple ? Ce qui s’est passé, ces tout derniers jours à Scutari, en Albanie. Lire la suite
En cette fin d’année, retour sur les 10 articles les plus lus en 2020 sur le site de Polémia. Deuxième article le plus consulté cette année, un texte sur les peurs des dirigeants quant à la crise de Covid-19.
Merci à tous pour votre fidélité et rendez-vous en 2021 pour une nouvelle année de résistance.
Polémia
Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Et si nos dirigeants craignaient finalement plus l’après-crise et ses conséquences pour eux que la crise en elle-même ? C’est l’hypothèse de notre fidèle contributeur Pierre Boisguilbert.
Polémia
Après le confinement, la fuite ? Après le « tous aux abris », le « sauve qui peut » ? Certains des dirigeants français ont peur d’être rattrapés par leurs mensonges, mais surtout par la foule. C’est la grande crainte de la Macronie que les comptes ne se règlent pas uniquement sur le plan judiciaire. Il y a eu des émeutes, des révolutions et des débordements pour moins que ça. Lire la suite
Il doit ignorer que Trotsky est mort assassiné…
«Je suis profondément convaincu, et les corbeaux auront beau croasser, que nous créerons par nos efforts communs l’ordre nécessaire. Sachez seulement et souvenez-vous bien que, sans cela, la faillite et le naufrage sont inévitables»
Non seulement il cite Trotski, mais il cite le Trotski de 1918, celui de la Terreur Rouge. En 1918, Trotski (de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein) était à la tête de l’Armée rouge, théorisait et conduisait la terreur et ouvrait les premiers camps destinés aux «agitateurs louches, officiers contre-révolutionnaires, saboteurs, parasites». Entre un préfet psychorigide et le fondateur de l’Armée rouge, nous avons à faire à la même inhumanité. En citant Trostski, Lallement fait un double clin d’oeil à un génie de la répression et à ses auxiliaires Blackblocs. Sous des dehors qui se veulent humoristiques il confirme l’alliance du pouvoir et de l’extrême gauche.
Les manifestants qui battront le pavé parisien sont prévenus…
Source : Le Salon Beige
Dans le cadre de la rédaction d’une nouvelle brochure sur les Royalistes et l’écologie, voici ci-dessous la 1ère partie d’une brève étude historique sur ce thème déjà publiée en 2017.
L’année qui s’achève semble avoir été interminable, même si elle ne comptait que 366 jours (année bissextile oblige), et elle pourrait bien apparaître comme une « année-tournant » pour les générations prochaines. La crise sanitaire a accéléré des processus déjà engagés, autant sur le plan économique que sur le plan civique, mais évidemment aussi géopolitique, et cette crise (qu’il faudrait conjuguer au pluriel tant elle en entraîne et se combine avec d’autres) renvoie à son étymologie grecque qui peut signifier « la séparation », celle entre un « avant » et un « après ». Lire la suite
Tout de même… Chacun s’est bien sûr trompé lors de la dernière présidentielle. Les uns ont rejeté celui qui leur apparaissait bien artificiel comparé à Fillon, les autres se dirent que Marine Le Pen ne parviendrait jamais à l’Élysée, entachée qu’elle était par le nom qu’elle portait. Ils partirent à la pêche ou aux pâquerettes, ce maudit jour de mai 2017. Et depuis, nous en subissons les conséquences ! Lire la suite
Christophe Guilluy est à l’origine du concept de « France périphérique » et ses essais sur les « fractures françaises » sont devenus des classiques incontournables. A l’occasion de la sortie de son nouveau livre, Le temps des gens ordinaires, il est interrogé dans La Nef. Extrait : Lire la suite