Thierry Mariani : “Aujourd’hui, on ne sait même plus pourquoi il y a une ligne rouge entre certains du RN et certains de LR”

Thierry Mariani : “Aujourd’hui, on ne sait même plus pourquoi il y a une ligne rouge entre certains du RN et certains de LR”

Contrairement aux girouettes Guillaume Peltier et Geoffroy Didier, co-fondateurs de la “Droite forte” (sic) et qui militent désormais pour une droite molle, Thierry Mariani va relancer son club “La droite populaire”, qui réunissait les plus à droite de l’UMP, en vue des municipales de 2020 :

L’ancien ministre des Transports Thierry Mariani s’apprête, lui, à relancer La Droite populaire, son club qui réunissait l’aile dure de l’UMP au temps du sarkozysme triomphant : “Aujourd’hui, on ne sait même plus pourquoi il y a une ligne rouge entre certains du RN et certains de LR, et j’espère réunir tous ceux qui veulent ce rapprochement“, annonce-t-il (…)

Mais, surtout, le RN espère nouer des alliances, indispensables pour gagner les scrutins locaux des prochaines années, en particulier les municipales de 2020 pour lesquelles le parti ne peut compter que sur un petit réseau d’élus sortants et doit engranger des ralliements pour l’emporter au second tour.

“Les ténors comme Wauquiez ou Larcher, on ne les fera pas bouger, mais on s’en fout, poursuit Philippe Olivier. En revanche, des élus de base vont nous rejoindre car dans leur ville ils pressentent un raz-de-marée d’En marche ou du RN, et ils savent que leurs chances de survie sont nulles s’ils restent à LR.”

Le parti désire ainsi débaucher maires sortants ou conseillers municipaux, principalement dans des communes de taille moyenne, moins dépendantes des logiques d’appareil que les grandes agglomérations. Plusieurs municipalités, où le rapport de forces est favorable au RN, sont déjà dans le viseur. Les cadres lepénistes se refusent à tout commentaire sur ces objectifs. Dans l’entourage ­d’Emmanuel Macron, on craint que Lens (Pas-de-Calais), Toulon (Var), La Seyne-sur-Mer (Var) et Perpignan (Pyrénées-Orientales), où le RN a dépassé les 30% aux européennes, tombent dans leur escarcelle, ainsi que Nîmes (Gard) et Avignon (Vaucluse), où il a flirté avec les 25%.

https://www.lesalonbeige.fr/thierry-mariani-aujourdhui-on-ne-sait-meme-plus-pourquoi-il-y-a-une-ligne-rouge-entre-certains-du-rn-et-certains-de-lr/

Hauts-de-Seine (92) : plusieurs maires claquent la porte des Républicains

Après la débâcle des Européennes, l’heure des comptes. La démission de Laurent Wauquiez ce dimanche soir de la présidence des Républicains changera-t-elle la donne ? Pas sûr. Les maires LR des Hauts de Seine se réussissent ce lundi soir à Neuilly, au siège départemental des Républicains, pour un bureau politique exceptionnel.

Ce sera l’occasion, pour certains d’entre eux, d’annoncer qu’ils quittent le parti. Le maire de Saint-Cloud Eric Berdoati n’a pas attendu cette réunion exceptionnelle pour s’exprimer. « Je ne souhaite plus prendre part à toutes ces vaines querelles, et décide de rester un élu attaché à sa ville sans appartenance partisane », expliquait-il ce dimanche dans le JDD.

Ils seront plusieurs à lui emboîter le pas.

Le Parisien

http://www.fdesouche.com/1217319-hauts-de-seine-92-plusieurs-maires-claquent-la-porte-des-republicains

Politique-Eco n° 218 – Gave et Chouard : la Disputatio

Ce soir, Olivier Pichon et Pierre Bergerault vous donnent rendez-vous pour un numéro spécial de « Politique-Eco ». Ils reçoivent l’économiste Charles Gave et le professeur Etienne Chouard qui confrontent leurs idées pour la première fois. Un entretien exclusif à ne pas rater sur TV Libertés !

https://www.tvlibertes.com/politique-eco-gave-et-chouard-la-disputatio

«L’Italie et sa monnaie alternative, le premier pas vers la sortie de l’euro!» L’édito de Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
« Avec son projet de « monnaie alternative », l’Italie fait un nouveau pied de nez à Bruxelles »
Je suis innocent mes amis.
Ce titre alarmiste, « fin-du-mondiste », que dis-je « pessimiste » et carrément « complotiste » est du… Figaro !!
« Rome se tient prête à contre-attaquer face à l’Union européenne. Le parlement italien a voté une motion permettant d’envisager sérieusement l’émission d’une monnaie «parallèle» à l’euro.
Cette nouvelle devise, déjà évoquée l’année dernière par le gouvernement, se traduirait par l’introduction de bons du Trésor à court terme italiens, appelés «mini-BOTS».
Comme le soulignent Les Échos , cette « monnaie » serait donc une sorte de reconnaissance de dettes émises par l’État afin de solder des arriérés à ses fournisseurs et créanciers.
D’après les informations de Reuters, le Trésor pourrait ainsi imprimer l’équivalent de plusieurs milliards d’euros de titres négociables que les usagers pourraient utiliser pour payer leurs impôts et acheter des services ou des biens fournis par l’État.
Le président de la commission du Budget, Claudio Borghi, critique de longue date de l’euro, a déclaré que le plan d’émission de cette monnaie alternative était inscrit dans le « contrat » solennel de la coalition et serait activé pour accompagner le train de réformes fiscales.
Cette idée n’est pas sans rappeler celle de l’ancien ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, qui avait lui aussi envisagé un système de paiement parallèle.
Les partisans de ce plan estiment qu’il finira par résoudre le problème insoluble des dettes qui pèsent sur l’économie italienne depuis des années. »
Rien que cela! Et … ce n’est pas rien !!

Augmentation des taux d’intérêts italiens

Il faut dire que ces derniers jours, sous « l’amicale » pression de Bruxelles, les taux italiens montent, or, des taux qui montent pour un Etat qui est surendetté, c’est évidemment le plus court chemin pour la faillite !

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Le Vlaams Belang est de retour… enfin !

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Pieter Kerstens

Voici le courrier que j’avais adressé en mai 2007 aux parlementaires du Vlaams Belang, après une première défaite aux élections législatives.

Bruxelles, le 9 mai 2007.

Camarade,

Depuis des mois, que dis-je, depuis plusieurs années, j’entends certains d’entre vous m’affirmer qu’il faut adapter notre discours.

Parce que le chômage a diminué ?

Parce que le gouvernement nous épargne ?

Parce que la drogue a disparu de nos écoles ?

Parce que la sécurité est telle que l’on peut maintenant se promener partout le soir après 20 heures sans aucun risque ?

Parce que notre pouvoir d’achat a augmenté et que la pression fiscale a diminué ?

Parce que enfin, et c’est visible, l’immigration a été stoppé et que de nouveau les églises sont pleines (de sans-papiers…) ?

On m’a dit que l’étiquette de la bouteille était changée, plus attrayante, mais que le contenu restait le même.

Cela me rappelle ce que Annemie Neyts (député libérale) racontait -un soir de décembre 1988, rue de la Commune à Saint-Josse ten Noode- lors d’une réunion où la Commissaire Royale du Gouvernement –Paula D’hondt- devait aussi s’exprimer. « Annemieke » prétendait que « les Belges devaient mettre de l’eau dans leur vin et que les étrangers, eux, mettraient alors du vin dans leur eau !! »

Presque 20 ans plus tard 56% des Bruxellois sont d’origine étrangère et les 44% de blancs envoient leurs enfants à la cantine où la viande est Hallal ! Lire la suite

Sortir de la logique des partis

Sortir de la logique des partis

Interrogé dans L’Incorrect, Henri Guaino déclare :

[…] Vous raisonnez avec vos histoires de partis comme si les électeurs étaient désormais rangées dans des boîtes, petites ou grandes, dont ils ne sortiraient plus. Mais les électeurs n’appartiennent à personne et passent leur temps à sortir des boîtes. À compter par boîtes, en 1969 le candidat communiste faisait, au premier tour de l’élection présidentielle, 21 % des voix, le candidat centriste, Alain Poher, plus de 23 %, Georges Pompidou 44,5%, Il n’y avait alors aucune place pour les socialistes dont le candidat, Gaston Deferre, faisait 5 %. Mais en 1971, c’était le congrès d’Epinay et trois ans plus tard, le nouveau parti socialiste de François Mitterrand portait son candidat à 43,25 % au premier tour de l’élection présidentielle. En 2017, entre la boîte du Front National, celle des Républicains et celle du Parti socialiste, il n’y avait pas d’espace. Pourtant, Emmanuel Macron a gagné la présidentielle et, «En Marche », créé un an auparavant, a envoyé 302 députés sur 577 à l’Assemblée. Au Royaume-Uni, le parti pro-Brexit, fondé en février dernier, vient de remporter près de 32% des voix aux élections européennes. Tout cela ne relève pas de la logique des petites boîtes. Encore une fois la politique c’est une une rencontre, une alchimie, encore faut-il vouloir les créer. […]

https://www.lesalonbeige.fr/sortir-de-la-logique-des-partis/

“Halalisation” des entreprises françaises : Les libéraux en passe de se faire avaler par les businessmen africains

 FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
Du fait que de nombreux partisans des Républicains souhaitent s’allier avec LREM, on peut y voir de leur part une acceptation d’une France multiculturelle. Une France multiculturelle, c’est-à-dire une France de religion musulmane majoritaire. De leur point de vue, ne peut-on pas faire des affaires avec les Africains musulmans implantés en France, tout en gardant le pouvoir ?

Est-ce un si grand mal d’aménager pour cet Africain une salle de prière dans un coin de l’entreprise, si on peut payer deux fois moins cher son travail au bout du compte ? Est-il vraiment si tragique que soit inscrit halal sur l’emballage, à côté de Carrefour ou Vache-Qui-Rit, si cela permet de conquérir de nouveaux marchés ? L’arrivée de nouvelles populations, cela ne va-t-il pas relancer la croissance économique et permettre de rivaliser avec les États-Unis et la Chine ?

À force de petites compromissions et de vues à court terme, les libéraux vont bientôt se faire avoir par la main invisible d’Adam Smith et se retrouver forcés de céder le pouvoir économique

La notion de halal n’est pas la simple attestation morale d’une conformité à un rituel d’abattage pour la viande. C’est un instrument pour prendre le pouvoir économique, et donc politique. Halal veut dire « autorisé », et peut s’appliquer à à peu près tout, que ce soit des produits économiques et financiers, ou à des actions du quotidien, et même à des modes de vie.

En quelques coups de baguette magique, la certification halal peut permettre aux musulmans certificateurs de prendre le pouvoir complet d’une économie, en disant quel produit ou quel travail est légal ou non, en deçà de toute législation existante excepté le Coran. Les libéraux croient à la fois pouvoir conserver le pouvoir économique et monter dans le train en marche du multiculturalisme. Pourtant, la “halalisation” des entreprises françaises sonnera l’hallali du système économique traditionnel français.

https://fr.novopress.info/214709/halalisation-des-entreprises-francaises-les-liberaux-en-passe-de-se-faire-avaler-par-les-businessmen-africains/