Jour : 22 janvier 2019
Traité d’Aix la Chapelle : c’est la France que Macron assassine.
Ceuta (Espagne): Le nombre de migrants mineurs a explosé de 446% en 2018
Ils tentent le passage à la sortie de l’école, la plupart à partir de Tétouan ou de Tanger, où ils se glissent parmi les journaliers qui franchissement légalement la frontière de Tarajal. Selon l’agence de presse espagnole Europa Press, Sebta enregistré 3 344 entrées de mineurs étrangers non accompagnés (MENA) en 2018. Une augmentation de 446 % par rapport à l’année précédente. Tous, ou presque, sont marocains et sont des garçons. Les jeunes filles représentent seulement 1,2 % des arrivées.
Rien que la semaine dernière, le centre pour mineurs La Esperanza a recueilli 295 adolescents marocains…
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L’avortement s’invite dans la constitution de la liste LR aux européennes
François-Xavier Bellamy été interrogé hier dans JDD, notamment sur son opposition à l’avortement.
“Cette question de l’IVG est une conviction personnelle que j’assume. Mais je comprends qu’elle ne soit pas partagée, et vous ne trouverez de ma part aucune parole offensante ni aucun jugement”
Alors que son nom est avancé depuis quelques jours pour mener la liste des Républicains aux prochaines élections européennes, cette petite phrase a aussitôt été utilisée par la police de la pensée comme Marlène Schiappa :
« Alors même que la France vient de lancer une campagne européenne pour la ratification de la convention d’Istanbul, voilà que les Républicains veulent envoyer au Parlement européen : un anti-IVG ».
Aurore Bergé, porte-parole du groupe LREM à l’Assemblée nationale, a également appuyé :
« ‘Jeune et brillant… et hostile à l’IVG’. S’il est choisi pour être l’incarnation de la droite aux européennes, c’est aussi à un choix de société et de civilisation que les Français auront à répondre. Aux législatives, déjà les électeurs lui avaient dit non ! ».
Le philosophe sera-t-il défendu par LR ?… En attendant, il se défend en publiant un extrait vidéo datant de janvier 2018, dans lequel il exposait, sur France 5, son raisonnement sur le sujet.
En finir avec les bandes armées de la finance :
Depuis le début de ce que l’on appelle « la révolte des Gilets jaunes », multiples opérations ont été entreprises par le Pouvoir pour neutraliser celle-ci. Entre autres, l’infiltration dans les cortèges de supplétifs intitulés « antifas » un jour, « Black bloc » un autre. A chaque manifestation, c’est la même chose : des bandes opérant en toute impunité, voire avec la complicité de la police aux ordres, cherchent à imposer leurs slogans sortis d’un autre siècle et tabassent ceux qui ne les reprennent pas à l’unisson. Vieille méthode communiste qui avait fait ses preuves jadis au-delà du Rideau de fer…
Heureusement, les Gilets jaunes ne sont pas tous dupes et, de plus en plus souvent, ils commencent à exclurent de leurs cortèges ces individus à la dangerosité avérée à la tête desquels on retrouve un dénommé Saturnin Bernanos (ou quelque chose comme cela). Ce sont eux qui ont agressé samedi dernier un journaliste indépendant qui faisait honnêtement son travail cliquez là.
Il est temps d’en finir avec cette délinquance stipendiée qui sert les intérêts des tenants de la finance globalisée et attisée par les opposants d’opérettes style Mélenchon. Dans un Etat national digne de ce nom, il faudra mettre hors la loi ces bandes armées ainsi que l’idéologie morbide qu’elles véhiculent.
En attendant, la vigilance et la mobilisation s’imposent. Le Système est aux abois, aidons-le à sombrer…
S.N.
La fin de la grâce
Pauvre Macron qui, désormais, relève [presque] de la pitié. On le voit s’agiter 6 heures durant, tel Fidel Castro, devant des auditoires de notables locaux. Soigneusement choisis par les préfets, parmi les 550 000 élus de la France profonde, ils ont été instruits des questions qu’il conviendra de poser. Gentiment, ils se plient à l’exercice. Au temps du quadrillage de l’Afrique du nord par le protecteur militaire, on avait inventé de les désigner comme s’il s’agissait d’une tribu ou d’une confrérie celle des béni-oui-oui. Et cependant certains s’écartent des consignes. N’est-ce pas à désespérer de cette consultation. Conçue comme une communication à ses unique, elle est présentée comme un grand débat.
Ah ! peuple ingrat ! Lire la suite
Un traité franco-allemand passé entre deux chefs d’Etat en déficit de légitimité : les mariages forcés se terminent en général mal
Communiqué de Mouvance France :
Le traité franco-allemand que Macron et Merkel s’apprêtent à signer à Aix-la-Chapelle, peut-être d’ores et déjà tenu pour illégitime et sans doute mort-né.
Il aura le contraire de effets escomptés car il aigrira les relations entre les deux peuples.
Ce traité a été préparé en catimini, sans débat ; son contenu a été dévoilé par surprise quelques jours seulement avant sa signature.
Il sera passé entre deux chefs d’Etat et de gouvernement en grave déficit de légitimité : Emmanuel Macron, empêtré dans la crise des Gilets jaunes dont la cote est au plus bas, Angela Merkel en fin de course, gérant les affaires courantes. Triste caricature du traité franco-allemand, dit de l’Elysée, signé le 22 janvier 1963 entre Charles de Gaulle et Konrad Adenauer, tous deux assis sur une forte légitimité, mettant fin à un siècle d’hostilité entre les deux pays.
Grand débat : le prince, il parle pas à toi !
En 2012, quand l’émission « Quotidien » de Yann Barthès n’avait pas encore supplanté « Les Guignols de l’info » à l’heure de l’apéritif, un de leurs sketchs faisait fureur.
C’était une grande époque de « mercato » footballistique et de rachat des joueurs à prix d’or par l’émir du Qatar.
Toute personne interrogeant la marionnette du richissime Qatari sur les joueurs rachetés n’obtenait de réponse que par l’intermédiaire de son interprète et, interloquée, finissait par demander « Il ne parle pas français, le prince ? » « Si, mais le prince, il parle pas à toi », répondait tout aussi invariablement l’interprète.
C’est à quoi fait penser le grand débat.
Le peuple demande, depuis deux mois, à notre prince à nous qu’il change la Constitution afin de lui redonner la parole. Lire la suite